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mardi 18 septembre 2018

E. D.

Et pas E. T. 😆

Quoique... En matière d'extra-terrestre lui aussi fait fort.

L'année dernière j'ai eu la chance que mon mari et ma fille m'offrent un billet pour le concert 2018  à Paris d'Ed Sheeran.

Ce concert a eu lieu le 6 juillet, soit quelques jours avant mon anniversaire. 12 mois de patience, faut-il être sereine pour ne pas tout jeter par la fenêtre avant le jour J.

Ce qui aurait été fort dommage, parce que le mec il envoie du bois !!!!!!!!!!!!!!!!

Alors on n'aime ou pas (j'en connais qui n'aime pas le trouvant trop "pauvre" musicalement parlant - ben oui, mais j'm'en fous un peu beaucoup et qui auraient préféré le voir dans une petite salle - ben oui, quoique, mais à ce compte là, j'avais 70 ans le jour du concert)

Le stade de France, 60 000 places, si si 60 000 places.... un truc de fou, je n'avais jamais assisté à un tel événement et pourtant j'ai vu quelques trucs quand même.

C'était chouette, très très très chouette. Il met une énergie folle dans son show, il est tout seul sur scène et jamais il n'arrête. Je me faisais la réflexion qu'il chante comme si nos vies en dépendaient. Il chante, il change de guitare, il chante, il change de guitare, il chante, il change de guitare....

Alors oui il s'arrête, pour nous remercier, pour remercier les "boys friends et les daddys" qui servent de chauffeur à son public. Il les remercie vraiment. Et les messieurs en question apprécient.

Et puis il chante, il change de guitare, il chante, il change de guitare, il chante, il change de guitare, il chante, il change de guitare....

Et nous on applaudi, on chante, on applaudi pendant qu'on chante, pendant qu'il chante, on crie, on chante, on recrie, on re-chante, on bouge, on danse, on chante, on danse, on rit, on vit, on partage, bref, c'était chouette, très !





vendredi 14 septembre 2018

Retour...

Parce qu'on m'a donné envie de revenir (elles se reconnaîtront)

J'ai arrêté parce que je ne voulais plus écrire, je n'avais plus envie, pas vraiment de matière et aussi parce que j'ai arrêté de lire. Arrêtée de lire les livres il y a longtemps, arrêté de lire les gens.  Ne plus lire et ne plus écrire  vont ensemble. Je n'en pouvais plus de ces blogs vieparfaite/viedemerde (alors pas vous, pas celles qui savent combien je les aime) .

Il y a 2 styles de blogs particulièrement agaçants, ceux où tout va bien, la vie est belle, bien rangée, bien gérée, avec du sport et la bouffe bio dedans. Et c'est culpabilisant (même si parfois, c'est fait pour dire qu'on peut réussir les choses). Et les autres où rien ne va souvent (pour ne pas dire jamais) et c'est toujours la faute de l'autre, au choix (quand ce n'est pas tous ensemble) l'ex, la belle-mère, les conjoints, les collègues, les voisins et les gosses... Et c'est tout aussi horripilant.

Je n'en pouvais plus de lire ce grand écart avec la vie réelle, celle où l'on a tous des joies, des peines, de grands bonheurs et de grands malheurs aussi. Je voulais de l'équilibre et ce qui arrivait dans ma vie ne l'était pas. Je ne voyais pas l'intérêt d'en parler.

Que s'est-il passé depuis le feu il y a 7 mois ?  Du mauvais d'abord, et puis du bon, et puis encore et encore...

2 jours après le feu, mes beaux-parents ont eu un accident de voiture, un peu de verglas et ils ont fini leur course dans un mur, à vitesse réduite, mais l'impact a déclenché les air-bags. Ma belle-mère était secouée, mais mon beau-père a du être hospitalisé, il avait mal partout mais surtout au dos, une série d'examens plus tard et ils l'ont gardé... Un peu, puis beaucoup, puis mis en maison de rééducation, dont il devait sortir fin mars, puis mi-avril, puis fin avril. Jusqu'à ce que je pose des questions, parce que ma belle-mère n'y comprenait rien et ses fils ne voyaient jamais les médecins. Bilan, le cancer de la prostate qu'il avait depuis quelques mois sous contrôle, venait de faire des bonds, des métastases en pagaille, des anémies en veux-tu en voilà, il pouvait rentrer chez lui à condition d'aménager le logement... Ce qu'ils ont refusé. Oui, ils ont tous les deux refusé d'aménager la maison pour qu'il rentre chez lui. C'était du domaine de l'incompréhensible pour moi. Après chacun voit midi à sa porte, il y a certainement des choses que je ne sais pas, mais à fin avril, début mai, j'ai laissé tomber, je ne cherchais plus à comprendre.  J'étais trop en colère, trop occupée ailleurs, pour faire quoi que ce soit.

Ailleurs, avec l’aîné dont on venait d'apprendre qui'l n'avait pas payé son loyer depuis 4 mois...  L'incendie, les brûlures, l'accident ne suffisaient donc pas, il en fallait une couche encore. Il était en grande pauvreté, à devoir choisir entre manger et payer son loyer, déjà qu'il ne mangeait qu'une fois par jour... Il avait eu du mal à se remettre de son échec "post master" puis de l'incendie et ne nous avait rien dit "je pensais pouvoir m'en sortir tout seul, je voulais m'en sortir tout seul"... Cela a été salvateur de toucher le fond et que nous l'apprenions, il a décroché un cdi, en moins de 10 jours, dans une boite de consultants. Ce qu'il voulait, où il voulait, à un salaire inespéré. Au bout d'un mois il était sur les rails.

Ce mois de mai, qui continuait entre les "je sors / je sors pas" de beau-papa, les exigences de belle-maman et la benjamine, qui préparait vaillamment son brevet (et la soirée de fin d'études).  Brevet qu'elle a passé, tenace et têtue. Et puis sa demande de classe européenne, en attente, en attente, en attente. Comme les résultats du brevet. Ils devaient tomber le 11 juillet à 17h. Le 11 juillet jour de mon anniversaire. Je croisais les doigts que beau-papa tienne jusque là, son état se dégradait tellement vite... Et puis moi juillet, depuis 6 ans, ce n'est plus comme avant...  Et elle a eu son brevet, avec mention très bien, les félicitations de son proviseur, de ses profs, de nous aussi bien sûr. Un beau moment de bonheur dans ce début d'été.

Et puis il y a eu le 13 juillet, avec le médecin qui dit "il ne reste que quelques heures...", Le 14 juillet au matin, beau-papa prenait enfin le repos qu'il attendait depuis longtemps.

Alors le brouillard, les demandes, les interrogations, le chagrin. et puis merde à la fin, je ne voulais pas vivre ça encore. Non pas encore, pas encore aussi près de mon anniversaire. Ma colère ne retombait pas. J'ai été (je crois être encore un peu) détestable. Mais surtout je me suis fermée, totalement, à toute forme d'humanisme je pense. Je ne voulais être qu'égoïsme, juste moi et moi et encore moi.

Fin juillet, cette option classe européenne toujours en attente. La consigne était : "si vous n'avez pas de courrier, de mail d'ici fin juillet c'est que c'est bon"... 27 juillet un courrier du lycée. Ma fille défaite, moi la tête ailleurs j'ouvre et  "Votre fille est admise en classe européenne". Bref, mais fichtre tellement bon ça aussi !!!

Août s'est déroulé sans trop de remous (si ce n'est que mon beau-frère cet astre, n'a rien trouvé de mieux que de partir 4 semaines en congés, en camping-car... Si si, voilà le mec vient de perdre son père, sa mère est sans moyen de transport et lui se barre en Vendée, puis à Biarritz, puis en Auvergne pour se changer les idées... Laissant mon mari faire chauffeur tous les jours ou presque. 60 ou 120 km selon les besoins exigeants, continus de belle-maman.  Le cimetière tous les jours, les rendez-vous pris dans la foulée du décès, pour régler les affaires, le notaire, la banque, et le reste.

Coup de bol, notre fille est partie en Bretagne, chez une copine d'Instagram. Un lien de plus, pas inutile du tout. Un bien fou avec cette famille d'une gentillesse extrême. Une copine blondinette, gentillette, présente et affectueuse. Ce dont elle avait besoin cet été.Un grand bout de douceur.

Alors voilà, c'était compliqué, pas envie d'en parler, puis finalement autant vous le dire, c'était une année que je ne revivrais pas. J'ai fermé les écoutilles, je n'ai plus d'empathie. Plus de patience non plus. Alors pour éviter de dire des méchancetés à celles qui ne m'ont rien demandé, j'ai arrêté de lire les livres et les gens, du coup j'ai arrêté d'écrire aussi.

J'y reviendrais...

Certainement.

Plus tard, à un autre moment.

ps : j'ai beaucoup beaucoup cousu par contre.








mardi 28 novembre 2017

Nuage turquoise..

Je ne vais pas te faire tout l'arc en ciel, mais  sache qu'après le rose de la forêt, ma fille s'est transformée en nuage turquoise.





Tu as la version dos, face et profil. Et le profil c'était important parce que c'est exactement ce qui motivait la demande couture maison. Plus long derrière que devant, maman c'est possible ? Oui tout est possible ma poupette !

Le patron, une horreur de Mccalls, tout mal foutu, avec des explications en carton (mais bon sang comment font les débutantes ?!) et des mesures à la noix, le tour de taille du jupon est de 12 cm moins large que le bustier qui lui est pile poil bon... Pas de problème d'assemblage, une fois que t'as géré, la prise en sandwich de la fermeture éclair dos avec la doublure du bustier... (non mais quand je te dis que ce patron est tout moisi, il est tout moisi, c'est le 3e qui me pose problème chez eux... à moins que ça ne vienne de moi ???? )

Mais pourquoi nuage ? Parce que dès qu'elle bougeait le jupon faisait pfffffffff. Elle marche pffffffffff, elle s'assoit pfffffffffffffffffff, elle se lève pfffffffffffffffff, elle danse pffffffffffffffffffffffffffffffffffffff . C'est très rigolo un jupon en tulle quand on a une robe qui danse !

Alors oui c'est de la couture de gonzesse, mais c'était pour la bonne cause. Le mariage de Richard et Nikki, et eux, tu vois, c'est un peu comme des neveux, mais en mieux.



vendredi 17 novembre 2017

Brouillard rose...

Her matin ma fille s'exclame "oh regarde le ciel est tout rose".

Oui en effet, le lever de soleil joue avec le brouillard, et nous voilà dans une forêt enchantée.


Réalisée sans trucage ni filtre. Juste rose et brumeux.

C'était une belle journée.

mercredi 19 juillet 2017

Revenue...

Ou pas tout à fait encore.

Quoi qu'il en soit je n'arrive pas à parler du Sri Lanka.

Juste à en dire que c'était magnifique.

Que je veux retourner vivre là-bas. Pas parce que c'est magnifique, juste parce que c'est là-bas que je veux être; Dans les montagnes, au milieu des plateaux de thés, à ouvrir une maison d'hôtes.

Voilà quand tu me connais tu comprends à quel point je veux vivre là-bas.


vendredi 7 avril 2017

Printemps....



Bichon, Bichette qui prennent l'air.
Le premier qui prenait racine sur le rebord de fenêtre, alors je l'ai confortablement installé. Il y passe donc ses nuits et ses journées depuis qu'il fait soleil.

La seconde qui découvre que l'herbe ça mouille, ça chatouille, ça fait des fleurs ...







Un petit montage de mon défi "nature et photographie". 



J'ai bien aimé en fait. Ca m'a obligé à sortir un peu, à regarder différemment. C'était sympa.

Virée touristique parisienne aussi. La raison l'exposition Vermeer. Que j'ai trouvé décevante, je n'y ai pas ressenti d'émotion. La mise en scène ne doit pas y être pour rien. Un mur complet de tableaux se copiant l'un l'autre. J'avais l'impression d'être sur Instagram. L'exposition Valentin de Boulogne était bien plus agréable plus vivante plus émouvante. Après nous avons fait au pas de charge les deux ailes du musée pour retrouver quelques souvenirs. Pour finir en terrasse et profiter du printemps (enfin quand on oublie que mon mari a perdu le ticket du parking ou nous étions garés, après avoir renoncé à celui du Louvre et ses 1 euros les 12 premières minutes puis 1 euro par min supplémentaire (sachant que nous sommes arrivés à 12h09 et repartir à 16h34 je vous laisse calculer - je crois que dans leur mansuétude absolue, le forfait journée est à 60 euros... Le gardien du 2 parking a été fort aimable, il a compté à partir de notre arrivée et jusqu'à notre départ (soit tout de même 17 euros !!!!!!!!! ) Bref, c'est parce que mon mari n'aime pas le métro, mais sérieux, le prix du parking à Paris t'enlève tout sérénité. Par contre le restau c'était chouette, juste en face de la Comédie Française, même pas trop cher en plus )



Je vois que l'humeur est morose chez les copains et les copines, je me suis dit que mes douceurs seraient peut-être un peu de réconfort. Je vous bise les gens !

samedi 26 novembre 2016

Quand Cendrillon aboutit à....




Du travail sur des mois, par petits ou grands bouts.

Et voilà la finalité, une Cendrillon qui coure tellement vite qu'on ne voit rien. 😄

Mais une robe qui a fait sensation en coulisse.

Pourquoi Cendrillon court-elle ?



Derrière le rideau (en face de Cendrillon donc) il y a l'Esprit du château (le jeune homme au Chapeau), qui annonce aux spectateurs (accompagnés du Guide - la femme en rouge) que le Château est la maison de la Reine sans Couronne (Mme de Maintenon)








Il termine son annonce par "Et derrière ce lourd rideau, le château de Maintenon !"

Le rideau s'ouvre sur le carosse, le cocher (derrière Cendrillon) ouvre la porte, Cendrillon descend et court rejoindre sa maion, elle voit les spectateurs et s'enfuit dans le château.

Le guide dit alors "suivons cette enfant".... 





(promis je vous mets de meilleures photos d'ici quelques jours)

dimanche 25 septembre 2016

Dans 9 mois....

Il y a quelques années nous avons rencontré un jeune homme charmant, aéronaute de métier, posté sur les châteaux de la Loire. Il venait tout droit du Sri Lanka.

Il est devenu un ami, un très bon ami même, d'autant qu'il est né le même jour que Peau d'Ane. 






C'est celui qui l'a fait le plus voler. C'est SON pilote, celui qui lui garantit un atterrissage comme sur une fleur, la positionne au meilleur endroit, lui fait lire les manos, lui laisse faire tout ce qui est possible de faire dans une nacelle, avant pendant et après le vol. Bref, ils s'adorent !
















Peau d'Ane rêvait depuis au moins deux ans d'aller passer un moment chez lui, là-bas dans son ile. Mais mon amoureux refusait parce que bon c'est pas tout ça, mais 12 heures d'avion hein... Et puis dans les avions tu peux pas sortir ton bras par la fenêtre, tu peux pas voir la route, et là-bas hein comment aurait-on fait ? On n'y connait rien nous en voyage. Et puis Richard n'est pas là-bas au moment où nous on peut, il est en Inde (c'est un des rares pilotes international à faire 1/2 saison en France et 1/2 saison en Inde sur des ballons de 25 places et plus). En gros c'était "jamais de la vie"... Et nous étions bien tristes elle et moi. Nous avons tenté le coup du guide, de ramener des infos, de discuter, mais non pas question. Sans laisser complétement tomber, nous avions mis un peu ce voyage de côté, après le bac se disait-on.

En août dernier, Richard nous invite à passer la journée avec lui et à partager son vol. Les châteaux de la Loire avec Richard je n'allais pas rater ça. Ma bichette jolie non plus. Voler avec son pote au départ de Chaumont c'était Noël et Pâques dans la même journée.

Au détour de la conversation, tranquillement installés à la table d'un super restau, Richard dit "En juin c'est le mariage de mon frère, je vous invite ! Ca va être un super moment " "Comment ça tu nous invite au mariage de ton frère ?" "Ben à Colombo tiens, on prend le même avion, je t’organise le trip, et après c'est mariage et on rentre en même temps". Peau d'Ane n'a pas le temps de dire quoi que ce soit que son père répond "bon ben ok"

Ah stupeur et tremblements "arrête t'es pas drôle ça fait deux ans qu'on te demande et toi tu dis non tout le temps" l'homme nous achève avec un" "oui mais bon, là c'est avec Richard, je te donne ma parole on y va, on s'arrangera pour le taff et l'école, mais on ne peut pas rater un moment pareil !"

Tu n'imagines pas la joie ! ¨Peau d'Ane et moi à faire le tour de la table pour embrasser les hommes ! Les clients qui se demandaient bien ce qui se passaient, Peau d'Ane à hurler "hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii on part au Sri Lanka ! hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii on part, on part vraiment !!!!!!!!!!!!!!!!!!!"

Il fallait régler les détails (va expliquer au patron de l'homme que son seul chauffeur scolaire se barre 15 jours en plein juin au SL pour le mariage d'un mec qu'il ne connait même pas !)  Mais on a les billets ! Et le trajet, les hôtels et le coeur qui bat à 100 à l'heure rien que d'y penser.

Dans 9 mois nous partons au Sri Lanka !

Ca méritait bien une photo des deux potos de jours d'anniversaire :



(oui elle a bien une attelle, ce qui ne l'empêche absolument pas de voter et de crâner)

jeudi 22 septembre 2016

Des nouvelles...

Non je ne me suis pas perdue dans mes aiguilles, j'ai fait d'autres choses et c'était bien aussi.

La robe, n'est toujours pas finie, elle devrait l'être dans les prochaines semaines (ça tombe bien en même temps, la répét générale a lieu le 15 octobre...)


J'ai cousu 8 pantalons pour Rambouillet... oui, 8, Pour les 8 chefs de groupe (je suis chef de groupe bouhouhou) d'un événement qui aura lieu dimanche (sous l'eau, je suis ravie....) Ce n'était pas particulièrement difficile pourtant, mais soit la coupe, soit le tissu m'ont causé des difficultés. Je ne suis pas satisfaite du travail rendu. Et puis je suis tombée en panne de machine, bref, c'était pas top du tout du tout du tout. J'suis toute chafouin.

D'autant plus que j'ai du mettre la robe en stand by, mais aussi toute ma couture cliente. Je n'aurais pas du, j'ai un retard considérable du coup. Deux grandes doublures qui n'ont pas avancé d'un iota, Et puis je n'ai pas commandé la bonne couleur de doublure pour le manteau gris clair, c'est moche, faut que je la change (tiens ça ne me conduit pas à Chartres ça non plus). Sans oublier que c'est un manteau sans parmenture, sur lequel je dois rajouter deux boutonnières, il faut que je prenne de temps de me mettre dessus un vendredi après-midi.



Le prochain vendredi de disponible ça sera dans 15 jours...

Demain j'ai déjeuner avec le cadet, puis rendez-vous avec Peau d'Ane, crois moi si tu veux, je pense qu'elle  a, de nouveau souci de tendon d'Achille, sur le pied droit cette fois...




Ce qui ne l'a pas empêché de fêter son anniversaire le week-end dernier,

C'est cadeau : une petite vidéo du Cadet et de Peau d'Ane, en pleine séance d'air-guitar à l'apéro, ça les a beaucoup fait marrer (nous aussi bien évidemment)

Elle a été outrageusement gâtée ! 






Et même si on a zappé la prise de photo du gâteau de samedi, le vendredi (le D day donc) elle voulait une tarte aux fraises. Elle a eu une tarte aux fraises. Royalement exécutée par notre pâtissier de village, celui chez qui elle passait après l'école chercher le pain et les viennoiseries. Il était ravi de pouvoir lui concocter le gâteau d'anniversaire qu'elle voulait. Les demandes déjantées de ma fille en matière de pâtisserie lui manquait un peu faut dire.

Je crois qu'elle est gâtée jusqu'à l'année prochaine pour de vrai. Entre le sac quivabien, le bracelet trop canon de Mamie, celui trop chou de sa copine, la petite aile d'ange de ses frères, les billets pour le concert en mai prochain, le chaton tout neuf, elle est aux anges.


Quoi je ne t'ai pas dit qu'on avait un chaton tout neuf ?


Voilà, Mendes, le chaton tout neuf. 5 semaines (arrivée à 4 encore plus petite que Mesphisto !) mais débrouillarde comme pas deux. Qui n'a peur ni des chiens, ni des chats, ni de sauter du canapé sans parachute et qui adore faire ses besoins dans le linge propre... Elle saute partout, elle ne dort que sur nos genoux mais sinon elle est mimi.... Elle est arrivée il y a une semaine et depuis deux jours elle est devenue la chef de bande. C'est elle qui décide de qui rentre, sort, mange, quand et comment. Elle fait 350 g et elle fait la loi face à un chien de 35 kg ?  Ca ne va pas durer. Enfin j'espère, parce que ce n'est pas facile à vivre. Surtout le soir quand elle a décidé que c'était l'heure de jouer. Elle grimpe sur la chaise, miaule, vois le chien débouler et zou lui saute sur la queue !  35 kg de chien débonnaire ne font pas le poids face à 350 g de chaton bien éveillé !

Ce samedi c'est l'anniversaire de l'Homme, moi j'en suis heureuse, lui moins. Je le comprends celà-dit. Heureusement que Mendès lui voue un culte absolu, elle le poursuit partout et couine, couine dès qu'il met le nez dehors. 



Je me suis aussi battue avec un visa pour l'Inde (un visa pro, je t'assure c'est misère à prendre...)

Et j'ai un projet qui monte, qui monte, qui monte.

Faut que je t'en cause.

Mais pour ça faut que je mature un peu le machin. Et tout ça grâce à ma machine cassée.

Non faut que je t'en cause pour de bon. La semaine prochaine d'accord ?

Ah oui, faut aussi que je te dise un autre gros truc, un truc familial qui va arriver bientôt, dans 9 mois pour être exact... 

samedi 27 août 2016

Le grand projet.... (en étapes mais plein hein des étapes)

J'ai bien du en parler mille fois de ce projet là non ?

Le truc avec lequel je bassine la terre entière depuis l'année dernière. Tu le vois venir le machin ?

Je te rafraichis la mémoire : Maintenon, l'Aventure et il y a une quinzaine de jours la confirmation du rôle ! Enfin j'avais le prétexte pour faire la robe que je voulais depuis un an. La robe de Cendrillon, une robe 17e  avec tout pour être belle. Mais bon juste la robe bof, j'ai trouvé bien plus rigolo de rajouter une cape et la chemise et le jupon...

Mes aventures de couture ont donc commencé avec la recherche des tissus (pour les patrons, Pascale avait déjà bien déblayé le terrain). Un peu beaucoup du marché de Trappes pour le velours, le marché St Pierre pour le taffetas et le brocard et un peu de la tanière de ma copine pour le reste (les baleines, notamment, un univers...)

J'ai commencé par du facile :

La chemise : Voile de coton - 4 rectangles - un peu de dentelle



Puis le jupon : Coton lourd,  et...

Deux rectangles, des fronces, une ceinture et un élastique. En une heure c'est fait (ou pas...)


Deux rectangles assemblés en coutures rabattues. Ok
Des fronces à la main, une lubie mais sympa à faire.
Une ceinture ok
Un élastique. .. tiens pourquoi ça rentre pas partout ? Outch la coulisse est un peu juste. J'aurais pu poser un élastique moins large mais je n'en ai plus. Donc je re-pose en faisant attention à prendre juste le nécessaire de marge.
Euh mais pourquoi c'est pas cousu ? Ah ben parce que je n'ai plus de canette depuis 10 cm après le début. .. (entendre sa copine Pascale se gondoler depuis l'autre côté de la forêt de Rambouillet)
Coudre les 110 cm qui manquent
Poser l'élastique
Faire l'ourlet
A tiens il est à l'envers
Recommencer l'ourlet
Bon voilà c'est fini
J'ai mis 3h. Je suis un boulet !

 


Et j'ai enchainé avec la cape :

Velours blanc doublé de taffetas crème avec rayures de velours blanc


Comme l'année dernière, coupe au sol parce que ça ne tient pas sur la table. Et pour me plaire, les rayures de la doublure étaient dans la largeur, j'ai du tourner mon tissu et faire des raccords (que j'ai trouvé le moyen de ne pas calculer de manière à ce qu'ils tombent l'un face à l'autre, c'est moche mais ça ne se voit pas).  et puis bon j'étais pas aidé non plus, Chatounet adore le tissu !


Au final la cape ressemble à ça :


Et Cendrillon ne risque pas avoir froid cet hiver (le bestiau doit peser pas loin des  4 kg)


Je te dis que la capuche ne ressemblait à rien au début ?

Mais avec deux heures de plus j'en suis venue à bout  (un boulet je te dis, un vrai boulet !)


La suite demain.

Je suis sûre que tu es impatient non ?

vendredi 19 août 2016

Fin de vacances...

Il y a eu , la famille, le pétage de tableau électrique du cadet, mais il y a surtout eu la fête, belle, énorme, magique, merveilleuse !


Il y a eu le retour à la vie quotidienne, et des trajets jusqu'à Coignières, des visites au marché, et au marché St Pierre à Paris. Pour un gros projet...



Et puis la bascule prend un autre chemin.

Bref, c'est la fin des vacances quoi !

mardi 12 juillet 2016

Ma choupinette d'amour chérie !

Hier soir ma fille me demande si j'ai prévu de monter à l'atelier. Je me demande bien pourquoi vu que justement c'est mon anniversaire et que non je n'ai pas prévu de bosser. 

Mais elle insiste alors je monte et 


TADAM

Voilà ce qu'elle m'avait préparé





Cette enfant est choupie Dieu qu'elle est choupie !!!!!!!!!!!!!!!!

Elle a dépouillé avec enthousiasme toutes les boites photos pour trouver celles où ils sont tous les 3, ou avec les cousins.Elle a tout donné à son père pour qui'l les reproduise  et a tout collé sur les mur de l'atelier.

Cette enfant est choupinou vraiment choupinou !

mardi 21 juin 2016

Parce qu'il le vaut bien...

Petit, tout petit cadeau pour les 19 ans du cadet, je me rattraperais plus tard avec un lot de sarouel comme il en a envie, mais là je n'avais vraiment pas le temps.

Le choix des accessoires et des tissus : sa soeur (vous noterez les petits élastiques rouge, j'ai évité le lot en rose à grand peine, elle trouvait ça trop drôle)

L'exécution : ma pomme. J'ai pris soin de positionner la petite phrase qui va bien au fond de la trousse.

Pourquoi un tel choix d'article me direz-vous ?

Parce que sa soeur et moi sommes absolument fan des cheveux de notre Jésus d'amour !



mercredi 8 juin 2016

Le choix, la rose et la photo...

Ca va être bref, je n'ai rien à raconter, trop de pluie et pas assez de photos je crois.

En réfléchissant un peu j'ai bien une nouvelle : Mephisto, le nouveau. Petite bricole récupéré le vendredi avant la fête des mères. Fête que je prévoyais un peu moisie, vu que l'année dernière le cadet venait de partir en claquant la porte et que l'ainé avait appelé à 20h30. Donc cette année je me suis choisi un chatounet, parmi une petite portée de 3 bouts de chat, celui là est sorti du lot. Un machin de 400 g à la pesée, 5 semaines tout juste et un pelage gris charbonné qui semble devenir de plus en plus clair.



Petite bricole qui a bien eu besoin de chaleur, de cou de maman humaine pour pallier à son abandon en pleine grange par une maman chat débordée et isolée. Elle a du faire ce qu'elle a pu et puis est partie quand elle a constaté que ses petits s'en sortaient plus ou moins bien tous seuls. Il est donc le bébé écharpe de la famille.






Quant à la fête des mères, pas du tout moisie ! Une belle rose, bien choisie et offerte en direct par un ainé débarqué  par surprise. Il avait tout manigancé avec mon amoureux qui peinait comme un fou à me faire rester à la maison ce week-end là, alors qu'il était le premier à vouloir aller faire un tour 3 semaines avant. Donc une belle belle belle fête des mères !




Et finalement pas la moindre des nouvelles, notre star dans le local de mardi. 300 figurants et c'est elle qui est en photo de casting. Elle apprécie la nouvelle à sa juste valeur.  

Echo Républicain - 07/07/16


Bon 3 belles  nouvelles pour un post bref. C'est plutôt pas si mal.

jeudi 19 mai 2016

Le plat pays... Ou pas...

Non parce que bon, le plat pays, quand tu le commences au Mont de Cats ce n'est pas plat, z'cuz moi du peu.

Ok, ce n'est pas les Alpes non plus, 164 m, mais quand tu sais qu'une partie des Flandres est à 0, voir sous le niveau de la mer, tout de suite ça remet en perspective.

Nous y avons croisé moults randonneurs, en short (il faisait froid) et capuchon de pluie (il ne pleuvait pas) peut-être était-ce le dress-code du jour ?


Nous avons ensuite rejoint le gite "Le Séchoir à Houblon" à Meteren. A quelques kilomètres de : Lille (Manuella !!!!!!!!!) la Belgique (les chocolats !!!!!!!!!!!!!! ) et Calais (la dentelle !!!!!!!!!!! ) (toute en mesure hein la fille, toute en mesure).

Donc balade Lilloise en belle compagnie, parce Man et Grenouille sont vraiment trop mimis ! Grenouille guide en chef, nous a promenés dans Lille en long large et travers. Elle a trouvé un magasin magique-extraordinaire-fabuleux pour Peau d'Ane qui a fait le plein de crayons, estompe, carnet et surtout de milles et une idée de dessin. Elle nous a aussi dégoté un magasin de bonbons qui n'ont pas résisté longtemps (il reste le sachet avec un pôv bonbon tout solitaire dedans "pour mieux me souvenir"... )

Ben oui, on était avec les bestiaux. Grenouille fait très bien la gardienne de bestiaux. 

Ne pas faire attention à nos trombines, le photographe est gentil, mais on n'était pas trop dans la phase "je pose pour un blog". Alors c'était papotage et rigolage et du coup, voilà quoi, c'est le mieux que j'ai.

Donc Lille, moi j'aime ! Beaucoup même. C'est très joli, les gens y sont assez apprêtés mais cool, les jeunes partout, les magasins ouverts et les vendeurs agréables (là c'est combo gagnant comme on trouve peu par chez nous) et l'architecture est un vrai plaisir. C'était vraiment un bon, beau moment. Peau d'Ane est fan absolue de la ville (et de Grenouille qui a son admiration pour l'accompagnement et le conseil). Elle rêve d'une journée shopping là bas. Moi moins hein, vu le nombre de boutiques qu'elle me cite depuis que nous sommes rentrées.

Bref, Lille c'était CHOUETTE !

Dimanche, vu que nous n'étions pas tout à fait cuits des jambes, l'homme a proposé Bruges, moins loin que Bruxelles. Moi qui rêvait de Bruges en amoureux, j'étais à moitié déçue (en amoureux c'est pas avec enfant et bestiaux). Mais va pour Bruges. Le plat pays porte bien son nom, c'est plat plat plat...Mais Bruges n'est pas tout à fait aussi romantique que je me l'imaginais. Peut-être que l'hiver, ou la nuit, ça le ferait romantique balade pour amoureux transis (moui, bon, ok, hiver, transis...) Nous avons croisés des hordes de touristes, bruyants, envahissants, sans parler des calèches qui traversent à tout berzingue, ça m'a carrément gâché le plaisir d'être là-bas. Et puis les commerçants sont pas trop commerçant je trouve (rapport Lille), à part l'aimable marchande du glacier. Le reste, bof, où alors je suis exigeante, va savoir (euh, ça va là bas dans le fond, je l'entend ton "toi exigeante, c'est un peu comme dire que la pluie mouille" )



















La bonne humeur de Peau d'Ane n'était pas entamée elle au moins. Elle "love" avec les gâteaux apéritifs du restau (tout moche le restau, tout sale du dedans - on était en terrasse - avec bouffe toute pas bonne et très très chère), ça nous a beaucoup fait rire ses mimiques avec coeur, maison, parapluie.


Nous n'avons fait ni la maison du diamant - trop de monde, ni le centre de la dentelle - pas trouvé - mais pas trop cherché non plus. Cette ville ce n'est pas mon trip (je me congratule de n'y avoir pas réservé dans un hôtel 4 étoiles un week-end prolongé, j'aurais péri d'ennui). 

Avant que les calèches me donne des envies d'attaque de diligence, nous avons mis le cap vers Ostende

Mais après la 2e journée à faire les citadins, les bestiaux ont refusés de descendre de la voiture quand nous avons voulu nous promener sur la plage. Vraiment ça ne leur disait rien du tout du tout, la plage, la mer, marcher encore. Juste un arrêt éclair pour voir les oeuvres  d'Arne Quinze de plus près. C'est drôlement sympa.  Je ne mettrais pas ça dans mon jardin, mais là sur cette promenade c'était très beau à regarder.

Lundi, le problème était plus simple, nous étions cuits des jambes et surtout nous ne devions pas rentrer trop tard pour éviter les éventuels retours du week-end à rallonge.

Vu que mon mari est un nostalgique de ses trajets au long court, nous avons fait le détour par Calais. Là où il accompagne les petits élèves de son école pour l'Angleterre. Il attend de voir disparaître le ferry à l'horizon pour rentrer, il fait même des photos pour les parents inquiets. 

Mais Calais ce n'était pas que pour sa nostalgie de chauffeur, c'était surtout pour que je puisse visiter la Cité de la Dentelle. Je ne saurais trop vous conseiller d'y faire un grand tour ! Je crois que si j'y retournais avec mon amie Pascale (costumière historique) ils seraient obligés de nous prévoir un lit de camp. J'ai A.DO.RE ! J'ai du être tullière dans une vie antérieure, tellement j'aime  le métier, le bruit de la machine, le choix des fils ; tout est passionnant  (sauf l'expo Annette Messager, j'ai rien compris, ce n'était pas de l'art, c'était juste moche - je suis une obtuse de l'art moderne aussi faut bien l'avouer).

Donc voilà c'était beau, c'était chouette et il a fait BEAU !


samedi 23 avril 2016

Retour à la couleur !

Il aura fallu que j'attende qu'il refasse 8° pour te sortir mes nouvelles housses de pouf de salon.

Ben oui, moi quand il fait froid, gris, moche, j'aime bien regarder mes poufs.


 L'homme a dit "oh Joli !" Et moi je dis "pas mal".

Là j'ai ré-investi l'atelier pour un projet perso. Je te montre quand j'ai fini (dans pas longtemps)

Je te laisse juste un indice :


jeudi 3 mars 2016

De l'évolution d'une boite à couture...

Depuis que j'ai 6-7 ans je couds.



A la main d'abord, puis à la machine et sous l'oeil bienveillant mais un cil exigeant de ma grand-mère maternelle, ma Mamée Yanne (Eliane de son prénom de naissance, mais devenue Yanne au fil des années de grand-maman). Sa boite à couture était une boite en osier, avec des tas de petits trésors utilisés souvent, manipulés sous toutes les coutures (ahahaha) et dont j'ai gardé les dès, les épingles, les aiguilles, les ciseaux et le porte-aiguilles.  Je pouvais toucher à tout, sauf à ses ciseaux ! Ah ça les ciseaux c'était interdit de chez interdit. J'ai donc gardé la boite (qui est vide aujourd'hui) et l'interdiction absolue que les enfants touchent aux ciseaux de couture. Mes enfants ont transgressé quelques règles mais jamais celle-là - je crois leur avoir promis un truc à base d'enfer et de torture sans fin. D'ailleurs les ciseaux ont une telle valeur dans ma vie que j'ai bien plus été embêtée d'avoir perdu les miens il y a quelques jours que d'avoir perdu mon alliance (j'ai retrouvé mes ciseaux, mais pas mon alliance...)








Après j'ai cousu chez mes parents mais je ne me souviens pas trop de ma boite à couture, peut-être une travailleuse dans ce genre là. Dire que je n'aime pas ce truc est un euphémisme. C'est instable, trop petit ou trop grand ou trop profond ou pas assez (selon ce que l'on veut y loger), c'est inesthétique et en plus ça prend une place de dingue. Bon, relativisons, c'était celle de ma mère qui la tenait d'une grand-mère et qu'elle n'ouvrait jamais. Je n'ai rien gardé de cette horreur.








En 1987, ex belle-maman m'a offert une boite à couture plus en accord avec ce que j'aimais. Je l'ai toujours. Elle est bleue, je peux y trouver ce que je veux les yeux fermés.

C'est à partir de ce moment là que j'ai commencé à investir, des ciseaux tailleurs, un découd vite (la révélation !) des craies, du carbone à tissu, une roulette à patron etc etc etc.

Je l'aime beaucoup cette boite. Outre le fait qu'elle m'offrait une reconnaissance de mes compétences (souvent niées par mon ex et son père) elle se posait là où je cousais. Elle se pose toujours là où je couds. C'est ma boite. Je n'ai juste pas envie qu'elle soit plus grande ou plus petite. Elle est parfaite.





D'une table de cuisine chez ma grand-mère, je suis passée à une table de cuisine chez ma mère, puis une table de cuisine chez moi. Elle ressemblait souvent à ça la table de cuisine.






















A force de me voir sortir, poser ma machine accompagnée de ma boite, mon Amoureux a eu l'intelligence de m'offrir un plateau sur deux tréteaux dans notre chambre pour qu'au moins mon matériel soit toujours accessible. Peau d'Ane s'y est essayée plus d'une fois !




La boite bleue et la boite en osier...
De la partie base d'une armoire de cuisine il y a 10 ans, aujourd'hui j'ai investi l'atelier que l'homme m'a installé dans la chambre du Cadet.

17 m2 pour moi toute seule.

Une grande armoire pour les tissus, deux plateaux pour que les machines soient toujours prêtes à servir, une table qui me sert de table de coupe. Mon mannequin enfin dans la même pièce que le reste, les fils ne devraient pas tarder à être accessibles et surtout rangés par couleur.

Je vais accrocher mes ciseaux pour les avoir toujours à portée de main et mes outils de traçage au-dessus de ma table de coupe. Il faut que j'investisse dans de belles boites pour ranger les chutes de tissus et puis classer mes patrons dans des boites similaires (je n'aime pas trop quand c'est dépareillé je crois)



Je crois bien être passée d'une boite en osier, à mon atelier :

 "Au fil d'Arbout"