Ou pas tout à fait encore.
Quoi qu'il en soit je n'arrive pas à parler du Sri Lanka.
Juste à en dire que c'était magnifique.
Que je veux retourner vivre là-bas. Pas parce que c'est magnifique, juste parce que c'est là-bas que je veux être; Dans les montagnes, au milieu des plateaux de thés, à ouvrir une maison d'hôtes.
Voilà quand tu me connais tu comprends à quel point je veux vivre là-bas.
Petit blog personnel... pour mieux me souvenir de vous quand je serais vieille...
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mercredi 19 juillet 2017
dimanche 27 décembre 2015
Décrocher...
Il le fallait, pour percevoir pleinement cette folle et grandiose aventure. Pour prendre le poids de toutes les émotions, les rencontres, les sentiments qui ont guidé mes pas jusqu'au 10 décembre et qui m'ont portée jusqu'à dimanche 13. Il fallait que je me rende dans une autre "vie" pour être sûre d'avoir bien vécu cette parenthèse qui me semble encore aujourd'hui totalement dingue.
Alors j'ai rangé l'atelier, j'ai essayé de rejoindre mon canapé, mais je m'y suis ennuyée, j'ai eu comme des regrets, mais plutôt en vrai, de la nostalgie. Et puis j'ai attaqué la dernière semaine de boulot, parce que l'air de rien, j'ai aussi un taff .
Et nous sommes partis en vacances. Dans les Landes.
Je voulais voir la mer. Et j'ai été servie. Matin, midi et soir.
Et je ne t'ai pas tout mis.
Si j'avais été chien j'aurais eu cette tête là : Eux, c'est mes chiens. Et ils adorent l'océan, l'eau, la vase, le sable, les mouettes...
Je reviendrais vous raconter le château. Mais là, j'ai besoin de décrocher encore un peu.
Je vous aime les gens !
Je vous souhaite une belle semaine.
A tout bientôt !
Ps : j'ai bien reçu les jolies cartes, je te remercie aussi. Elles trônent sur le frigo et c'est drôlement réjouissant le matin :-)
Alors j'ai rangé l'atelier, j'ai essayé de rejoindre mon canapé, mais je m'y suis ennuyée, j'ai eu comme des regrets, mais plutôt en vrai, de la nostalgie. Et puis j'ai attaqué la dernière semaine de boulot, parce que l'air de rien, j'ai aussi un taff .
Et nous sommes partis en vacances. Dans les Landes.
Je voulais voir la mer. Et j'ai été servie. Matin, midi et soir.
Et je ne t'ai pas tout mis.
Si j'avais été chien j'aurais eu cette tête là : Eux, c'est mes chiens. Et ils adorent l'océan, l'eau, la vase, le sable, les mouettes...
Je reviendrais vous raconter le château. Mais là, j'ai besoin de décrocher encore un peu.
Je vous aime les gens !
Je vous souhaite une belle semaine.
A tout bientôt !
Ps : j'ai bien reçu les jolies cartes, je te remercie aussi. Elles trônent sur le frigo et c'est drôlement réjouissant le matin :-)
lundi 3 août 2015
Et à part ça....
Ah je sais je suis une copiteuse de titre
Mais, la chaleur me réduit en fondue de rien.
Donc je disais : Et à part ça ?"
A part la voiture qui nous a occupé tout juillet, il y a aussi eu un feu d'artifice.
Tu vas me dire que c'est pas nouveau, que ça fait 15 jours, que... Oui, d'accord, je te sors le marronnier de saison après tout le monde.
Ben tant pis, faudra t'y faire, je fais un peu ce que je veux avec mes cheveux (ou pas d'ailleurs).
Donc feu d'artifesse à Cloyes sur le Loir. C'était tout beau et le pote de la horde qui a géré le son et le feu nous a fait la gentillesse de nous accueillir du côté "technique".
Mais, la chaleur me réduit en fondue de rien.
Donc je disais : Et à part ça ?"
A part la voiture qui nous a occupé tout juillet, il y a aussi eu un feu d'artifice.
Tu vas me dire que c'est pas nouveau, que ça fait 15 jours, que... Oui, d'accord, je te sors le marronnier de saison après tout le monde.
Ben tant pis, faudra t'y faire, je fais un peu ce que je veux avec mes cheveux (ou pas d'ailleurs).
Donc feu d'artifesse à Cloyes sur le Loir. C'était tout beau et le pote de la horde qui a géré le son et le feu nous a fait la gentillesse de nous accueillir du côté "technique".
Installation / Réglages et belle musique.
Après, il y a eu les fusées, tu me pardonneras la qualité pourrite de mes images, mais j'avais pas mieux et puis j'étais un peu occupée à regarder avec mes yeux.
Un chouette moment, très comme je les aime !
vendredi 25 avril 2014
Bleu, bleu, bleu...
Voilà, je suis revenue du Sud.
Deux jours un peu gris (à peine gris d'ailleurs, vu ce que j'ai ce matin depuis ma fenêtre). Suivis de deux jours tout à fait bleu !
Une balade à Gonfaron (les ânes qui volent), puis à Bormes les Mimosa (ma fille est tombé amoureuse des chats de là-bas) et une belle promenade à Port Cros.
Port Cros c'est ça :
Ou ça :
jeudi 26 septembre 2013
Moment Parfait....
Chez Anne, chez Mamanlit, et chez bien d'autres, on trouve la photo de vacances représentant le moment parfait.
Comme chez beaucoup, moi aussi j'ai eu plusieurs de ces moments, dont les photos ne peuvent pas rendre le bon, le beau, la douceur, la tendresse, le plaisir qu'ils m'ont apportés.
Malgré tout, cet été, il y a eu des moments photographiés, et si un seul devait représenter cet instant alors ça serait celui-là
Comme chez beaucoup, moi aussi j'ai eu plusieurs de ces moments, dont les photos ne peuvent pas rendre le bon, le beau, la douceur, la tendresse, le plaisir qu'ils m'ont apportés.
Malgré tout, cet été, il y a eu des moments photographiés, et si un seul devait représenter cet instant alors ça serait celui-là
Voilà, il faisait beau, on était en balade en vélo, nous sommes rentrés fourbus mais bien bien bien !
dimanche 1 septembre 2013
Le dernier jour...
Et voilà, je viens d'arriver au bout de 3 semaines de vacances.
Vous avez eu le résumé de la première, pour les deux dernières, c'était beaucoup beaucoup plus calme.
De la couture, beaucoup, dont notamment ça :
Tunique et pantalon + ceinture. J'ai aimé faire cet ensemble, frais, doux, à la fois un peu habillé mais pas trop. Il a fait l'unanimité. Et sera de sortie mardi pour aller à l'école (décision de la propriétaire). Simplicity pour les deux patrons. Pas de difficulté si on ne rajoute pas les passepoils sur la tunique et les poches à l'italienne du pantalon, ce que je me suis empressée de faire parce que je sais pas suivre un patron.
Une tunique à carreaux, parce que bien évidemment elle n'avait plus rien à se mettre. Celle ci elle l'a met tout le temps, j'ai à peine le temps de la laver que hop, là voilà repartie avec.
Deux shorts : là faut me faire confiance et attendre que les propriétaires reviennent, que je fasse quelques photos. De la toile bien bien épaisse, qui endolorie les bras et les épaules, tord les épingles, et ne se laisse que très difficilement surpiquer. Et bien évidemment dans le short homme, si tu ne fais pas de surpiqûres c'est juste moche.
J'ai lu un peu, notamment un ouvrage romancé sur Pompéï que j'ai moyennement aimé. "L'affaire Dieu" de Jean-Pierre Dufreigne. Euh, bof là aussi, j'ai zappé la fin tellement toute l'histoire était alambiquée et peu compréhensible, mais je dois avouer que le vocabulaire ne manque pas et que j'ai appris plein de nouveaux mots - je me demande tout de même comment placer glossolalie, coprolalie et hallucinose dans une conversation. Là je suis sur "Un employé modèle" de Paul Cleave, idem, j'ai un peu de mal à démarrer. Je trouve le "héros" curieux tout de même.

Nous sommes partis à Ré, chez notre ami François. Un vrai rêve comme l'année dernière. En mieux même je crois. Puisque nous avons pu faire 5 jours de balades en vélo. 30 km en moyenne et ça me va parfaitement. Surtout sur du plat. Même quand il y a du vent ou un petit grain. L'homme était étonné de ma résistance, et moi donc !!! Les marais salants, en long en large et en travers. Le phare des baleines, St Martin (ct'chierie sur les pavés beurdel !!), la réserve aux oiseaux, etc etc etc.
Bref, fallait bien l'apéro derrière tout ça. Et des huitres, et des moules, et des glaces, et des pizzas maison, et la piscine pour les enfants. Notre fille tellement en manque d'eau bleue n'a rien trouvé de mieux que de passer 3 h dedans la première après-midi, je finissais par me demander si elle n'allait pas ressortir toute fondue.
Et puis retour à la maison, un peu de repos pour moi, un peu de boulot pour l'homme (qui finalement n'aura eu qu'une semaine de vraies vacances cet été). Et renvoyer les garçons chez leur père.
La rentrée c'est après-demain.
Le 16 l'anniversaire de Peau d'Ane, 10 ans, ct'e blague j'en pleurerais de la voir si grande. Puis le 24 celui de cher et tendre, qu'il ne veut pas fêter comme toutes les années. Le 6 octobre, les 20 ans de l'ainé.
J'vous dis pas, là j'ai carrément le mouchoir de scotché à la main...
Vous avez eu le résumé de la première, pour les deux dernières, c'était beaucoup beaucoup plus calme.
De la couture, beaucoup, dont notamment ça :
Tunique et pantalon + ceinture. J'ai aimé faire cet ensemble, frais, doux, à la fois un peu habillé mais pas trop. Il a fait l'unanimité. Et sera de sortie mardi pour aller à l'école (décision de la propriétaire). Simplicity pour les deux patrons. Pas de difficulté si on ne rajoute pas les passepoils sur la tunique et les poches à l'italienne du pantalon, ce que je me suis empressée de faire parce que je sais pas suivre un patron.
Une tunique à carreaux, parce que bien évidemment elle n'avait plus rien à se mettre. Celle ci elle l'a met tout le temps, j'ai à peine le temps de la laver que hop, là voilà repartie avec.
Deux shorts : là faut me faire confiance et attendre que les propriétaires reviennent, que je fasse quelques photos. De la toile bien bien épaisse, qui endolorie les bras et les épaules, tord les épingles, et ne se laisse que très difficilement surpiquer. Et bien évidemment dans le short homme, si tu ne fais pas de surpiqûres c'est juste moche.
J'ai lu un peu, notamment un ouvrage romancé sur Pompéï que j'ai moyennement aimé. "L'affaire Dieu" de Jean-Pierre Dufreigne. Euh, bof là aussi, j'ai zappé la fin tellement toute l'histoire était alambiquée et peu compréhensible, mais je dois avouer que le vocabulaire ne manque pas et que j'ai appris plein de nouveaux mots - je me demande tout de même comment placer glossolalie, coprolalie et hallucinose dans une conversation. Là je suis sur "Un employé modèle" de Paul Cleave, idem, j'ai un peu de mal à démarrer. Je trouve le "héros" curieux tout de même.


Bref, fallait bien l'apéro derrière tout ça. Et des huitres, et des moules, et des glaces, et des pizzas maison, et la piscine pour les enfants. Notre fille tellement en manque d'eau bleue n'a rien trouvé de mieux que de passer 3 h dedans la première après-midi, je finissais par me demander si elle n'allait pas ressortir toute fondue.
Et puis retour à la maison, un peu de repos pour moi, un peu de boulot pour l'homme (qui finalement n'aura eu qu'une semaine de vraies vacances cet été). Et renvoyer les garçons chez leur père.
La rentrée c'est après-demain.
Le 16 l'anniversaire de Peau d'Ane, 10 ans, ct'e blague j'en pleurerais de la voir si grande. Puis le 24 celui de cher et tendre, qu'il ne veut pas fêter comme toutes les années. Le 6 octobre, les 20 ans de l'ainé.
J'vous dis pas, là j'ai carrément le mouchoir de scotché à la main...
mardi 20 août 2013
Wouacances, j'oublie tout, plus à rien à faire du tout...
Titre parfaitement fallacieux puisque pour moi c'était une première semaine sur les chapeaux de roues.
Je vais vous la résumer, mais sans trop de photo, mon appareil fait toujours autant la tête, il est dans la toudou liste d'aller m'en quérir un autre (ce matin même si j'en crois le programme).
Donc
Week-end du 10-11 aout : les copines sont venues à la maison, avec leur mari, leurs enfants et après est venue ma filleule et un ami tout seul, comme j'avais déjà la petite amie de mon aîné et le reste de ma troupe, nous étions vraiment tout plein ! Les repas qui vont avec, mais aussi de l'aide, un taboulé et une salade de pâtes à tomber. Bref, deux jours de régalades, de rigolades et de bienfaits. Ce n'est pas compliqué, les réunions entre amis devraient être remboursées par la sécu.
La photo : Trampoline pour mon amie Hélène, un chtipeubourrée...
L'ainé déquille à grands coups de strike, spare, et autres 8 d'un coup, histoire de monter les scores à 130 alors que le cadet et moi plafonnons respectivement à 75 et moi un pénible 54...
Mercredi :
Chance inouïe, nous pouvons aller avec l'homme qui travaille comme chauffeur pour une com-com. Il conduit des ados à Paris-Plage. Normalement il sert souvent d'accompagnateur, mais là il a demandé si nous pouvions venir profiter de la journée avec lui. Nous voilà donc partis dans un car de 15 mètres de long, large comme un camion de pompiers, dans Paris La Vilette, quartier en travaux avec des rues larges comme ma tasse de café. Parfois il valait mieux ne pas mettre sa main / une feuille de papier à cigarette entre le mur/scooter/panneau de signalisation et le car. Plus d'un a été bluffé par la dextérité de chéri qui n'a cabossé ni l'engin ni les piétons. Piétons qui le long du marché Barbés se fichent comme d'une guigne qu'un autocar de quasi 3 tonnes leur passe à ras des fesses et ne feraient pas un seul centimètre d'écart pour faciliter la manœuvre !
Nous ne sommes pas restés à Paris-Plage, mais avons préféré (euh nan en fait moi tout seule j'ai imposé) le Marché St Pierre : du tissu, du tissu, du tissu à n'en plus finir. Mais pas forcément du meilleur choix, et pas forcément les conditions idéales pour choisir. Les enfants ne goûtant pas spécialement mes déambulations multiples, la petite chouinant pas mal, bref, rabattus sur 3 patrons, quelques mètres de toiles diverses et deux accessoires. Je retenterais ma chance plus au calme en octobre ou novembre.
Jeudi :
Rien, enfin je crois, si ce n'est une monstrueuse idée du cadet : des crozets pour le repas du soir. Genre pour 12... nous étions 8, l'en restait à peine pour le lendemain.
Vendredi :
Pour faire descendre les crozets, et après réception du colis qui va bien, un montage simple (enfin non pas simple, mais ingénieux).
Deux bastings, deux frangins, un trapéze et hop ça voltige :
Chéri ayant le vertige, les garçons ont grimpés les bastings sur la grande échelle et suivis à la lettre, les instructions données du sol. Mes fils sont formidables, forts, beaux, intelligents et parfaitement capable de faire le mieux pour leur petite soeur. Je m'en serais voulu de ne pas le rajouter.
Samedi - dimanche :
Soft, très soft, j'ai coupé, cousu, décati, coupé, cousu, reçu mes beaux-parents, un bon pote, bref, soft quoi.
Pour la deuxième semaine, c'est repos absolu...
Je vais vous la résumer, mais sans trop de photo, mon appareil fait toujours autant la tête, il est dans la toudou liste d'aller m'en quérir un autre (ce matin même si j'en crois le programme).
Donc
Week-end du 10-11 aout : les copines sont venues à la maison, avec leur mari, leurs enfants et après est venue ma filleule et un ami tout seul, comme j'avais déjà la petite amie de mon aîné et le reste de ma troupe, nous étions vraiment tout plein ! Les repas qui vont avec, mais aussi de l'aide, un taboulé et une salade de pâtes à tomber. Bref, deux jours de régalades, de rigolades et de bienfaits. Ce n'est pas compliqué, les réunions entre amis devraient être remboursées par la sécu.
La photo : Trampoline pour mon amie Hélène, un chtipeubourrée...
Dimanche soir 23 h, appel du patron de l'homme, "j'ai besoin de 3 sacs de sable pour demain matin 5 h 15, tu peux ?" réponse de l'homme "euh, ben on va le tenter"
Lundi matin :
5 h 15 : Mise en préparation des sacs de sable
5 h 45 : Livraison des sacs de sable
6 h 40 : Décollage des sacs de sable (3 et demi en fait*)
Et oui, chez nous le sac de sable ne fait pas que le ciment, il alourdit les nacelles de montgolfières.
Et c'est les ados qui en ont fait office. Autant vous dire que tous étaient ravis, surtout la petite amie pour qui s'était le premier vol.Bon bon bon, pour de vrai, ça a comaté toute la journée de lundi. Parce que levés à 5 h 15 alors que le coucher ne s'est fait qu'à 23 h, eux, ça leur convenait moyen. Dès que je récupère les photos, je vous met ça en ligne - photo prise par l'homme juste au-dessus de Chartres, milieu de vol.
* La petite amie étant fluette, le patron a préféré rajouter une demi-portion (Peaud'Ane) pour faire bonne mesure et faire 4 heureux.
Mardi :
Remis de leurs émotions, ils ont bien voulu faire soft mes ados, donc direction le bowling !
Peau d'Ane a plutôt tendance à jouer au billard mais qu'importe, elle déquille quand même...
L'ainé déquille à grands coups de strike, spare, et autres 8 d'un coup, histoire de monter les scores à 130 alors que le cadet et moi plafonnons respectivement à 75 et moi un pénible 54...
Mercredi :
Chance inouïe, nous pouvons aller avec l'homme qui travaille comme chauffeur pour une com-com. Il conduit des ados à Paris-Plage. Normalement il sert souvent d'accompagnateur, mais là il a demandé si nous pouvions venir profiter de la journée avec lui. Nous voilà donc partis dans un car de 15 mètres de long, large comme un camion de pompiers, dans Paris La Vilette, quartier en travaux avec des rues larges comme ma tasse de café. Parfois il valait mieux ne pas mettre sa main / une feuille de papier à cigarette entre le mur/scooter/panneau de signalisation et le car. Plus d'un a été bluffé par la dextérité de chéri qui n'a cabossé ni l'engin ni les piétons. Piétons qui le long du marché Barbés se fichent comme d'une guigne qu'un autocar de quasi 3 tonnes leur passe à ras des fesses et ne feraient pas un seul centimètre d'écart pour faciliter la manœuvre !
Nous ne sommes pas restés à Paris-Plage, mais avons préféré (euh nan en fait moi tout seule j'ai imposé) le Marché St Pierre : du tissu, du tissu, du tissu à n'en plus finir. Mais pas forcément du meilleur choix, et pas forcément les conditions idéales pour choisir. Les enfants ne goûtant pas spécialement mes déambulations multiples, la petite chouinant pas mal, bref, rabattus sur 3 patrons, quelques mètres de toiles diverses et deux accessoires. Je retenterais ma chance plus au calme en octobre ou novembre.
Jeudi :
Rien, enfin je crois, si ce n'est une monstrueuse idée du cadet : des crozets pour le repas du soir. Genre pour 12... nous étions 8, l'en restait à peine pour le lendemain.
Vendredi :
Pour faire descendre les crozets, et après réception du colis qui va bien, un montage simple (enfin non pas simple, mais ingénieux).
Deux bastings, deux frangins, un trapéze et hop ça voltige :
Samedi - dimanche :
Soft, très soft, j'ai coupé, cousu, décati, coupé, cousu, reçu mes beaux-parents, un bon pote, bref, soft quoi.
Pour la deuxième semaine, c'est repos absolu...
mercredi 7 août 2013
Wouacances...
Dans deux jours et demi je suis en congés.
Dans deux jours et demi je vais enfin faire.......
Rien,
Voilà, rien de prévu, rien d'anticipé, rien de rien de rien, si ce n'est une visite à Paris pour acheter du tissu et c'est tout !
Franchement, ça va me faire du bien.
Contrairement à l'homme qui lui aurait bien aimé bouger un peu, sauf qu'il travaille jusqu'au 20 août lui. Enfin, respirons, il a choisi aussi de bosser un jour par semaine. Donc il bosse demain, jeudi prochain et le 20.
Moi jusqu'au 20, doigts de pieds dans les tropéziennes et rien, juste rien, glander, buller, pas bouger !
Alors bonnes vacances à tous !
Dans deux jours et demi je vais enfin faire.......
Rien,
Voilà, rien de prévu, rien d'anticipé, rien de rien de rien, si ce n'est une visite à Paris pour acheter du tissu et c'est tout !
Franchement, ça va me faire du bien.
Contrairement à l'homme qui lui aurait bien aimé bouger un peu, sauf qu'il travaille jusqu'au 20 août lui. Enfin, respirons, il a choisi aussi de bosser un jour par semaine. Donc il bosse demain, jeudi prochain et le 20.
Moi jusqu'au 20, doigts de pieds dans les tropéziennes et rien, juste rien, glander, buller, pas bouger !
Alors bonnes vacances à tous !
jeudi 18 juillet 2013
Alors j'ai fait du vent avec mes pieds...

... il y a un poisson énorme qui est passé devant l'étoile de mer, et j'ai eu peur...Après j'ai pris l'étoile de mer et je l'ai ramenée dans un tamis"
En résumé, les vacances de ma fille au bord de la mer, chez sa mamie chérie.
Pas de photos, personne n'a eu le temps d'en prendre, des aventures racontées a minima parce qu'avec les cousins c'est bien quand secret. Pas de...
Rien en fait.
J'en saurais encore moins que l'année dernière.
Elle est rentrée pas très propre (elle ne s'est pas battue pour se laver les cheveux, ce que je peux comprendre et passer ses journées avec deux garçons de 11 et 13 ans ça n'aide pas à l'hygiène), mais une valise nickel, si bien que la dite valise va rester en l'état pour repartir demain soir chez son autre mamie, où l'attendent ses autres cousin-cousine.
Dans sa valise nickel, il y a avait l'achat que je lui avait confié, une paire de tropézienne pour sortir :
Je n'aurais pas tout perdu :-)
Libellés :
Air du temps,
Bonus,
Famille je vous aime...,
Les minis,
Petits riens...,
Vacances
dimanche 30 juin 2013
She's come back !
Et voilà, elle est partie, elle est revenue, entre les deux elle n'a pas beaucoup dormi. Mais sinon elle va bien.
Résumé en image :
Départ lundi matin, il est 5 h 30, les enfants sont bien plus en forme que leurs parents.

Embarquement à l'heure, 11 h 30, malgré des tas d'aller-retour entre douane française et douane anglaise. Les anglais sont de petits joueurs, les français de grands crétins. Le principal étant que tout le monde ai pu embarquer.

Premiers pas sur la terre anglaise, réflexion d'une des enfants, "mais pourquoi elles sont toutes vieilles les maisons ?"
euh comment dire...
"T'as pas fini voir les vieilleries... "

(Elle ne se souvient plus du nom, mais c'était très beau ! Bâtiment de la Garde Montée - St James Park)
Bref, je vous fais grâce des milles et une photo du blog, des écureuils dans dans Hyde Park - elle ne voulait pas croire qu'elle allait en voir plein - de la partie de cricket, de la relève de la Garde, du drapeau flottant sur Buckingham etc etc.
Elle a adoré, elle a ramené des souvenirs typiques (genre des décalcomanies glitters, vous n'imaginez pas à quel point nous sommes ravis de son sens de la dépense).
Et pour celles qui voudrait des photos plus "personnelles", malheureusement je n'en ai pas, elle est toujours avec l'un ou l'autre de ses camarades, que je ne peux m'autoriser à mettre en ligne.
Elle veut bien repartir avec n'importe laquelle d'entre vous, mais vraiment elle promet d'être sage, et parfaite, et gentille et même de porter vos valises du moment qu'elle retourne faire du shopping dans Londres.
Résumé en image :
Départ lundi matin, il est 5 h 30, les enfants sont bien plus en forme que leurs parents.

Embarquement à l'heure, 11 h 30, malgré des tas d'aller-retour entre douane française et douane anglaise. Les anglais sont de petits joueurs, les français de grands crétins. Le principal étant que tout le monde ai pu embarquer.
Premiers pas sur la terre anglaise, réflexion d'une des enfants, "mais pourquoi elles sont toutes vieilles les maisons ?"
euh comment dire...
"T'as pas fini voir les vieilleries... "
(
Bref, je vous fais grâce des milles et une photo du blog, des écureuils dans dans Hyde Park - elle ne voulait pas croire qu'elle allait en voir plein - de la partie de cricket, de la relève de la Garde, du drapeau flottant sur Buckingham etc etc.
Elle a adoré, elle a ramené des souvenirs typiques (genre des décalcomanies glitters, vous n'imaginez pas à quel point nous sommes ravis de son sens de la dépense).
Et pour celles qui voudrait des photos plus "personnelles", malheureusement je n'en ai pas, elle est toujours avec l'un ou l'autre de ses camarades, que je ne peux m'autoriser à mettre en ligne.
Elle veut bien repartir avec n'importe laquelle d'entre vous, mais vraiment elle promet d'être sage, et parfaite, et gentille et même de porter vos valises du moment qu'elle retourne faire du shopping dans Londres.
mercredi 6 mars 2013
A la montagne !
Peu l'ignorent pour me suivre ici et là, mais ne sait-on jamais, si un inconnu venait, j'aime autant expliquer que nous sommes partis à la Montagne ! Montagne avec un grand M, comme Magie ou Merveilleux, ou comme oh Malheur, selon qu'on l'aime ou pas la neige !
Donc, nous voilà donc partis, chargés comme des bourris, de trucs chauds et bien chauds, des polaires, des pulls, des pompes affreuses et des chaussettes en laine.

Et nous voilà arrivés, dans une maison en bois, toute chaude, toute douce, toute jolie, toute pleine d'enfants. Et au lendemain d'une nuit calme, nous aurions pu voir ça de la fenêtre du salon, sauf qu'il faisait gris, alors nous n'avons pas vu que c'était aussi beau.
Le premier jour, il n'aurait fallu manquer le premier cours de ski pour rien au monde, et c'est là que je me suis dit, que finalement, le bourri avait eu une excellente idée de transporter les trucs chauds et biens chauds et les affreuses chaussures ! Parce que là, dans la neige, par -8 ressenti, personne n'a boudé son plaisir des technologies modernes qui allient chaleur et légèreté.
Là-haut, c'était tout froid et tout blanc !
Le grand bonhomme rouge c'est le prof, la petite chose rose, c'est Peau d'Ane, et je ne dévoilerais rien de l'identité des autres sur le bord de la piste. Peau-d'Ane engageait là sa première descente hors de la zone d'apprentissage. Et je peux vous dire que ça n'était pas la dernière.
Elle nous a bien fait plaisir cette petite d'ailleurs, et a pu accompagner une Grenouillette très très à l'aise. Deux enfants qui ont laissés parfois loin derrière leur juste paternel, l'un en retour de ski abandonné depuis vingt ans, l'autre qui partagé entre les ados en snow et les filles en ski, n'avait pas assez de toute sa célérité pour suivre les deux groupes en même temps. Ados des miens qui n'ont pas démérité non plus. Leur ténacité m'a épatée. Tomber, jurer, recommencer. Tomber, jurer, recommencer, et ce jusqu'à ne plus tomber tous les dix centimètres.
Alors pendant que les jeunes skiaient, les dames tricotaient....
Nan mais tu y'a cru toi ?! Les dames biatchaient oui ! Et en coeur et en manoeuvre. Bon ok, les jeunes ont insisté, alors les dames ont fait une descente mémorable en luge-chenille. Tellement mémorable que la montagne a gardé l'écho de mes hurlements. Mais sinon c'était très bien.
Surtout si l'on rajoute le lundi, une belle balade dans la grande ville de pas loin, avec un petit tour dans une pâtisserie tout à fait miam.

Nous avons des tas de beaux souvenirs, quelques pauvres photos, mais surtout surtout l'immense plaisir d'avoir pu partager autant avec ceux de la Montagne. Mille mercis à vous tous.
Donc, nous voilà donc partis, chargés comme des bourris, de trucs chauds et bien chauds, des polaires, des pulls, des pompes affreuses et des chaussettes en laine.

Et nous voilà arrivés, dans une maison en bois, toute chaude, toute douce, toute jolie, toute pleine d'enfants. Et au lendemain d'une nuit calme, nous aurions pu voir ça de la fenêtre du salon, sauf qu'il faisait gris, alors nous n'avons pas vu que c'était aussi beau.
Le premier jour, il n'aurait fallu manquer le premier cours de ski pour rien au monde, et c'est là que je me suis dit, que finalement, le bourri avait eu une excellente idée de transporter les trucs chauds et biens chauds et les affreuses chaussures ! Parce que là, dans la neige, par -8 ressenti, personne n'a boudé son plaisir des technologies modernes qui allient chaleur et légèreté.
Là-haut, c'était tout froid et tout blanc !
Le grand bonhomme rouge c'est le prof, la petite chose rose, c'est Peau d'Ane, et je ne dévoilerais rien de l'identité des autres sur le bord de la piste. Peau-d'Ane engageait là sa première descente hors de la zone d'apprentissage. Et je peux vous dire que ça n'était pas la dernière.
Elle nous a bien fait plaisir cette petite d'ailleurs, et a pu accompagner une Grenouillette très très à l'aise. Deux enfants qui ont laissés parfois loin derrière leur juste paternel, l'un en retour de ski abandonné depuis vingt ans, l'autre qui partagé entre les ados en snow et les filles en ski, n'avait pas assez de toute sa célérité pour suivre les deux groupes en même temps. Ados des miens qui n'ont pas démérité non plus. Leur ténacité m'a épatée. Tomber, jurer, recommencer. Tomber, jurer, recommencer, et ce jusqu'à ne plus tomber tous les dix centimètres.
Alors pendant que les jeunes skiaient, les dames tricotaient....
Nan mais tu y'a cru toi ?! Les dames biatchaient oui ! Et en coeur et en manoeuvre. Bon ok, les jeunes ont insisté, alors les dames ont fait une descente mémorable en luge-chenille. Tellement mémorable que la montagne a gardé l'écho de mes hurlements. Mais sinon c'était très bien.
Surtout si l'on rajoute le lundi, une belle balade dans la grande ville de pas loin, avec un petit tour dans une pâtisserie tout à fait miam.

Nous avons des tas de beaux souvenirs, quelques pauvres photos, mais surtout surtout l'immense plaisir d'avoir pu partager autant avec ceux de la Montagne. Mille mercis à vous tous.
jeudi 28 février 2013
A la mer...
Grâce à son ami F et à sa femme M, mon mari a la chance de disposer d'une invitation permanente sur l'ile de Ré.
Et moi l'Ile de Ré, contrairement à l'Ile d'Oléron, j'aime bien. J'aime bien parce que cette maison là est à ras de la mer, à ras des marais, à deux pas des parcs à huitres.

Et il a fait beau, très très beau, nous avons pu nous balader, faire courir les chiens sur la plage et ils ont aimé courir après les oies bernaches, se rouler dans les algues et nager à travers les mini-rouleaux.

Nous avons aussi rencontré des gens sympas, des moins sympas (nous avons été polis, nous n'avons rien dit, juste beaucoup biaché après leur départ)

Mais surtout surtout, nous nous sommes reposés, avons discuté, refait le monde plein de fois et c'était toujours aussi bien !
Nous nous sommes régalés avec des huîtres du poisson, des bières bien fraîches, des petits vins sélectionnés avec amour, et des petits plats tout doux à nos palais.
Bref, c'était bien ! C'était court, mais c'était bien !
Et moi l'Ile de Ré, contrairement à l'Ile d'Oléron, j'aime bien. J'aime bien parce que cette maison là est à ras de la mer, à ras des marais, à deux pas des parcs à huitres.

Et il a fait beau, très très beau, nous avons pu nous balader, faire courir les chiens sur la plage et ils ont aimé courir après les oies bernaches, se rouler dans les algues et nager à travers les mini-rouleaux.



Mais surtout surtout, nous nous sommes reposés, avons discuté, refait le monde plein de fois et c'était toujours aussi bien !
Nous nous sommes régalés avec des huîtres du poisson, des bières bien fraîches, des petits vins sélectionnés avec amour, et des petits plats tout doux à nos palais.
Bref, c'était bien ! C'était court, mais c'était bien !
vendredi 22 février 2013
Mer et Montagne...
Tout ça en une semaine.
Bon donc, je suis partie à la mer...
Et là je pars à la montagne...
Et je te raconte quand je reviens !
Bon donc, je suis partie à la mer...
Et là je pars à la montagne...
Et je te raconte quand je reviens !
lundi 7 janvier 2013
Un peu de soleil...
Je suis partie, je suis revenue et je vous souhaite, à toutes
et tous beaucoup de bonheur, de sérénité, d'amour, de plaisir, de
tendresse et de joies. Parce que quand on a ça, alors on peut affronter
le reste, qui inévitablement viendra assombrir le quotidien.
En attendant, je vous avais promis des photos, les voilà.
Là ça fait les malins, mais la demi-heure d'avant et celle d'après était
moins "rieuse". Le cadet s'est fait palper parce qu'il a eu la bonne
idée de mettre des chaussures à bout métal, et la benjamine n'a que très moyennement appréciée d'être sur l'aile gauche, surtout au moment du grand virage.... Mais elle a fait de chouettes photos malgré tout.
Le reste se passe de commentaires, il a fait beau, beau beau et encore super beau !
Alors, plage, terrasse, câlinous, balades
Et puis il a fallu rentrer, et après avoir fait 300 bornes avec un vent à décorner les boeufs et à raser les glissières de sécurité, on a trouvé la pluie et la circulation, mais aussi la possibilité d'une étape, mais là vraiment on était trop pressés... Tellement qu'il a fallu qu'on tombe en panne d'essence à 70 km de la maison, quelques cm après la barrière de péage.
Alors j'ai forcé le destin, j'ai été trouver la première voiture venue, un gentil couple m'a accompagnée jusqu'au village, puis m'a attendue pendant que je demandais un bidon dans un bar qui fermait, qu'un très gentil monsieur me fournissait le-dit bidon pour y mettre dix litres, et le très gentil couple m'a raccompagnée jusqu'à la voiture.
Mon mari ne croyait pas qu'on allait me prendre pour m'emmener à la station, ni que je trouverais un bidon, ni que je mettrais moins d'une demi-heure pour faire le tout. Mais , finalement l'humanité rime parfois avec solidarité et ça fait du bien aussi.
En attendant, je vous avais promis des photos, les voilà.

Le reste se passe de commentaires, il a fait beau, beau beau et encore super beau !
Alors, plage, terrasse, câlinous, balades


Alors j'ai forcé le destin, j'ai été trouver la première voiture venue, un gentil couple m'a accompagnée jusqu'au village, puis m'a attendue pendant que je demandais un bidon dans un bar qui fermait, qu'un très gentil monsieur me fournissait le-dit bidon pour y mettre dix litres, et le très gentil couple m'a raccompagnée jusqu'à la voiture.
Mon mari ne croyait pas qu'on allait me prendre pour m'emmener à la station, ni que je trouverais un bidon, ni que je mettrais moins d'une demi-heure pour faire le tout. Mais , finalement l'humanité rime parfois avec solidarité et ça fait du bien aussi.
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